Comme le dit si bien Jochen Schmidt, le mal du pays est très répandu chez les Bretons exilés. J'en suis parfois atteinte, alors même que je suis expatriée de mon plein gré, en très bonne compagnie et dans une agréable contrée. Plus concrètement, au-delà d'une grande joie ressentie en pensant à mes prochains séjours dans mon bled auprès de ma famille, j'ai parfois très prosaïquement envie de galettes et crêpes. Pas faites maison, non non, dégustées toutes belles dans un petit resto.
Bref, dimanche dernier, j'avais envie de me faire une crêperie comme on dit, après avoir reçu une jolie carte postale d'une amie représentant une galette. Dômeu en avait fort heureusement envie aussi. En outre, coup de chance, une collègue allemande m'avait refilé une bonne adresse que nous avions mise de côté. Hop hop, une heure de trajet plus tard, nous étions assis entre de jolis murs en pierre humant de la cuisine au beurre.
Bref, dimanche dernier, j'avais envie de me faire une crêperie comme on dit, après avoir reçu une jolie carte postale d'une amie représentant une galette. Dômeu en avait fort heureusement envie aussi. En outre, coup de chance, une collègue allemande m'avait refilé une bonne adresse que nous avions mise de côté. Hop hop, une heure de trajet plus tard, nous étions assis entre de jolis murs en pierre humant de la cuisine au beurre.
À noter : Mahällö elle-même a reconnu que la météo pluvieuse et venteuse accroissait son sentiment d'être "à la maison" (note de Dômeu)