Nos cadeaux de Noël nous auront permis de découvrir beaucoup de choses : Mahällö a invité Dômeu au théâtre, le grand frère de Dômeu nous a permis de voir un opéra à Berlin,
et le papa et la maman de Mahällö nous ont offert un voyage à Varsovie. C'est
ce qui s'appelle être gâtés. Notre week-end polonais de trois jours dans
cette belle ville à cinq heures et demi de train seulement de Berlin
nous inspirera plusieurs articles thématiques. Mais avant cela, quelques impressions générales du voyage.
Le drapeau polonais, à ne pas confondre avec le monégasque, qui s'obtient en regardant cette image la tête en bas.
Dès sortie du train, nous avons fait connaissance avec les deux thématiques historiques que l'on retrouve partout à Varsovie : la première est liée à Jean-Paul II, avec une avenue monumentale portant son nom (Aleja Jana Pawła II) dès la sortie de la gare. On le retrouvera en statue ou en portrait un peu partout, même en une d'un journal (sans que j'ai trop compris ce qu'il y avait comme actualité).
La seconde, dans l'après-midi, avec le musée de l'insurrection de Varsovie, objet de plusieurs dizaine de monuments un peu partout dans la ville, histoire de rappeler aux habitants une histoire que les années de communisme avait tenté de faire disparaître.
Ce qui nous a le plus frappé dès notre descente du train c'est que...
Fort heureusement, il y a des endroits très jolis, non pas conservés - la vieille ville a été détruite après la seconde guerre mondiale, en gros, c'était devenu ça :
mais reconstruit après coup.
Ce qui donne quelque chose qui ressemble à ça :
avec le wifi en prime (petit panneau sur le lampadaire), et la sécurité, parce que pas mal d'étudiants de l'université d'à côté commençaient à faire des rassemblements, il ne faudrait pas que ça se transforme en place Taksim non plus...
D'autres endroits très modernes ont, eux, été bâti récemment et je les ai trouvé de toute beauté. En particulier la nouvelle bibliothèque universitaire. Déjà, pour le bon goût d'avoir fait figurer les équations de Maxwell sur sa façade, au cas où, ça peut toujours servir (Note de Mahällö : Et la distribution exponentielle en haut à droite !).
Mais aussi pour le très beau toit-terrasse entièrement végétalisé, dont les forme et la végétation me faisait penser à la "Ville qui n'existait pas" d'Enki Bilal.
Toit tellement intégré dans la nature que l'on y croise même des canards...
Ce qui nous a le plus frappé dès notre descente du train c'est que...
... la Pologne reste un pays pauvre, même dans les rues au centre de sa capitale. Les rues sont assez sales et les bâtiments peu entretenus. Et je dis cela en ayant connu l'ancien centre de Marseille ! (il paraît que cela a changé depuis, à voir...).
Aussi, les perspectives d'allées gigantesques léguées par le communiste en plein centre, c'est assez moche. Berlin a réussi à revitaliser un peu les alentours de l'Alexanderplatz, ce n'est pas trop le cas à Varsovie. Pour ne rien arranger, une vingtaine de gratte-ciel qui ont poussé çà et là depuis accentuent l'impression de grand canyon vide et désert...
Les abords de la station "Centrum". Oui, cela veut dire "Centre"...
Et tout autour, les immeubles qui poussent, avec des noms d'entreprises non-polonaises écrits tout en haut
La place du général de Gaulle. J'aimerai savoir qui a eu l'idée de mettre un palmier à Varsovie...
Notre guide touristique a appelé cet endroit "la place du socialisme pur". Effectivement, c'est assez vrai...
mais reconstruit après coup.
Ce qui donne quelque chose qui ressemble à ça :
avec le wifi en prime (petit panneau sur le lampadaire), et la sécurité, parce que pas mal d'étudiants de l'université d'à côté commençaient à faire des rassemblements, il ne faudrait pas que ça se transforme en place Taksim non plus...
D'autres endroits très modernes ont, eux, été bâti récemment et je les ai trouvé de toute beauté. En particulier la nouvelle bibliothèque universitaire. Déjà, pour le bon goût d'avoir fait figurer les équations de Maxwell sur sa façade, au cas où, ça peut toujours servir (Note de Mahällö : Et la distribution exponentielle en haut à droite !).
Mais aussi pour le très beau toit-terrasse entièrement végétalisé, dont les forme et la végétation me faisait penser à la "Ville qui n'existait pas" d'Enki Bilal.
Toit tellement intégré dans la nature que l'on y croise même des canards...
Et qui permet d'observer la Vistule.
Ce qui me permet de remercier le collègue qui m'a conseillé cette visite, le guide que nous avions acheté nous conseillais plutôt la visite du gros nid rouge et blanc, stade de football pour l'Euro 2012 :
Merci à lui ! [En plus sans lui nous n'aurions pas vu le canard quoi.] Et merci au père Noël !
Je confirme pour Marseille...
RépondreSupprimerJean
Merci !
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