- La charcuterie ? - ok
- La pomme de terre ? - c'est exact
- et euh... la bière ? - On parle d'aliments...
Vous serez sans doute étonnés d'apprendre que, pour compléter ce podium, il faut citer... l'asperge !
Il existe même une route de l'asperge, comme une route des vins mais pour les asperges, quoi...
Image prise ici.
Deuxième saison de cette série, avant une longue pause (l'été et l'automne ne pourront pas être traités tout de suite pour d'évidentes raisons logistiques et écologiques).
L'asperge est donc l'objet d'un amour profond outre Rhin, squattant le tiers des étals des marchés, se retrouvant en couverture de nombreux livres de cuisine et au menu de beaucoup de restaurants * en ce moment. Mais attention, les allemands respectent scrupuleusement la période de cueillette (d'avril à juin) pour pouvoir en déguster.
* Note de Mahällö : Les restaurateurs haranguent parfois le passant. Récemment l'un d'entre eux m'a dit "Spargel !" ("Asperges !") en espérant me séduire !
Du coup, la recette de printemps ne pouvait qu'incorporer des asperges !
Une première cuisson dans l'eau, d'après l'une de nos visiteuses, nous n'en avions jamais préparé auparavant.
Suivi d'une cuisson au four (210°C), avec un filet d'huile**
La recette que nous avions trouvée était des penne au asperges (avec un peu de fromage**). On s'aperçoit dans nos assietttes que les asperges étaient quand même en grosse minorité. Le plat était accompagné par un vin blanc produit par les parents d'un ami, auquel on fait un peu de publicité !
** : Note de Mahällö encore. Un peu, un filet... Le gras c'est la vie selon Dômeu et sa modération est donc toute relative.
Pene aux asperges et au comté rapporté par nos visiteuses. Le vin est du Ebling.
Pour terminer le repas, un autre produit de saison (mais moins typiquement allemand) : les fraises ! La recette se trouve sur notre set de table (cf photo ci dessus), il fallait bien l'utiliser !
Mixer des fraises avec un peu de sucre, du jus de citron et, pour ceux qui le souhaite, de la menthe, et le tour est joué !
Prost! Seule plainte de Mahällö qui aime pourtant le chocolat par-dessus tout : y'en avait pas assez.
A bientôt pour l'été !
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