Ça y est, vous l'avez dans la tête, la fameuse chanson du "Gummi Bär". Attention, il faut maintenir les enfants à distance de ce genre de choses.
Ce terme désigne également, outre un blog de très bonne qualité, le nom usuel d'une friandise produite par HAns RIegel de BOnn, entreprise qui s'obstine néanmoins à l'appeler "Goldbär" ou "ourson d'or" en français dans le texte. [Note de Mahällö : avec ça et l'article précédent on peut penser que Dômeu est obsédé par les bonbons.]
Et la bible du savoir franco-allemand, Karambolage, y a consacré un court reportage avec l'humour et l'érudition propre à ce programme télé. [NDM : Non Dômeu n'est pas payé par Arte, il est seulement en train de boire dans son mug préféré.]
Et la bible du savoir franco-allemand, Karambolage, y a consacré un court reportage avec l'humour et l'érudition propre à ce programme télé. [NDM : Non Dômeu n'est pas payé par Arte, il est seulement en train de boire dans son mug préféré.]
On y apprenait que les Gummibärchen allemand se distinguaient de leurs voisins d'outre Rhin par le goût, la forme et la texture. Il fallait faire le test !
Das Original à gauche, l'original à droit, mais sont-ils vraiment les mêmes originaux ?
Le paquet de gauche vient de la Mensa (cantine) de Dômeu, celui de droite du stand Haribo gare Montparnasse
D'emblée, même à travers le sachet, on peut reconnaître une distinction dans les couleurs des oursons. Karambolage l'explique : les colorants sont plus contrôlés outre-Rhin, donc les couleurs des bonbons sont moins éclatantes.
Le français se trouve en haut, l'allemand en dessous.
Bien que moins chimique, la couleur plus terne du Gummibär germanique fait craindre qu'il soit sujet à une crise de Weltschmerz. N'apprend-t'on pas sur Arte que le souci de ces friandises, c'est que "leur très brève espérance de vie déclenche chez eux de graves dépressions" ?
En revanche, concernant le goût et la texture, notre goûteur professionnel n'a pas réussi à faire la distinction. Par respect, nous éviterons de donner mon score de réussite au repérage du Gummi Bär allemand. Cela tient peut-être de mon absence de passeport allemand. [NDM : Je me permets d'insérer un ricanement, héhéhéhéhé, en me souvenant que Dômeu était persuadé de reconnaître les oursons que je lui tendais, en se trompant misérablement à chaque fois.]
Le goûteur. Grand professionnel, pourtant.
Il me faudra sans doute davantage d'entraînement. Et sans doute planifier la consommation des petits ours en dehors des horaires d'orchestre, pour éviter les remarques de ma voisine dentiste, peu sensible aux arguments culinaires face à ses préoccupations liées aux ravages dentaires.[NDM : Dômeu fais gaffe à tes dents !]
Avis : cette note n'a pas encore été sponsorisée. Commerciaux de chez Haribo, n'hésitez pas à faire vos propositions en commentaires !
Un article sur mes bonbons préférés!!!! c'est vraiment un blog de très très grande qualité!
RépondreSupprimerC'est très allemand chère PCC de préférer ces bonbons-là. ;o)
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